Lors d’un conseil de Paris, l’Inspection générale évoque la suppression des cours individuels dans les conservatoires afin d’éviter les risques d’abus sexuels à l’encontredes mineurs. Les cours individuels rencontrent de plus en plus ce genre de situations qui s’avèrent alarmantes.
Une demande basée sur de nombreuses constatations
Le rapport qui traite des risques d’agressions sexuelles à l’encontre des mineurs a été initié par la Maire de la capitale française, Anne Hidalgo. Cette demande résulterait dedivers cas d’agressions sexuels perpétrés par des agents issus de diverses directions. La direction des affaires scolaires et celle des affaires culturelles seraient les plus pointées du doigt. Le service cité précédemment serait le responsable des conservatoires.
Un rapport alarmant
Le rapport dénonce le manque de procédure face à ces agressions et fournit quelques recommandations. Le document précise également le fait que les relations intimes entre maître et élève sont trop banalisées et va même jusqu’à mentionner le nom d’un célèbre pianiste et son professeur. Cependant, quelques représentants de la musique sont offusqués par cette accusation à l’encontre de leur discipline. Ainsi, le président de l’Association des professeurs des conservatoires parisiensa estimé que les professeurs se sentent visés par ce rapport et tombent des nues quant à la manière dont le document a été formulé. Tous les enseignants de musique ont été mis dans le même panier et paient pour les erreurs de quelques minorités. De même, l’Association nationale des enseignants de disciplines artistiques à travers son président est également choquée par les propos évoqués par le rapport de l’Inspection générale de Paris. Ainsi, Marc Morel préparerait une demande de rendez-vous avec la ville et François Frémeau adresserait un courrier à la Mairie et aurait notifié qu’il aurait le soutien des parents d’élèves.